État des lieux de la pratique de l'IVG depuis la loi du 2 mars 2022 allongeant le délai légal à 16 semaines d’aménorrhée
Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique
Objectifs poursuivis
Domaines médicaux investigués
Bénéfices attendus
Le 02/03/2022, la Loi n° 2022-295 visant à renforcer le droit à l’avortement est votée. Elle prévoit un allongement de deux semaines du délai légal de l’Interruption Volontaire de Grossesse ainsi porté de 14 à 16 semaines d’aménorrhée.. . Lors des débats parlementaires, la peur des complications per et post opératoires, la non maîtrise du geste chirurgical du fait d’une technique plus complexe, et l’éventuelle réticence des médecins ont été mises en avant. Le Collège National des Gynécologies Obstétriciens Français a également exprimé plusieurs fois ses réserves... . Le but de l'étude est de faire un état des lieux des pratiques de l'IVG entre 14 et 16 SA dans la région Pays de la Loire, analyser la sécurité du geste opératoire, et définir les caractéristiques sociodémographiques des patientes.
Données utilisées
Catégories de données utilisées
Source de données utilisées
Variables sensibles utilisées
Acteurs finançant et participant à l'étude
Responsable(s) de traitement
Type de responsable de traitement 1
Responsable de traitement 1
Responsable(s) de mise en oeuvre non cités comme responsable de traitement
Responsable de mise en oeuvre non cité comme responsable de traitement 1
Responsable de mise en oeuvre non cité comme responsable de traitement 2
Responsable de mise en oeuvre non cité comme responsable de traitement 3
Calendrier du projet
Base légale pour accéder aux données
Durée de conservation aux fins du projet (en années)
3
Fondement juridique
Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)
Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)
Transfert de données personnelles vers un pays hors UE
Droits des personnes
Nous veillons à vérifier que chaque CH fournisse aux patientes une note d'information générale concernant le recueil des données personnels... . Nous publions également un résumé de notre étude sur le site internet de chaque CH permettant aux patientes concernées de s’opposer à l’utilisation de leurs données. En cas d’impossibilité de publier ces informations dans des CH, nous informons individuellement les patientes par appel téléphonique.