N° F20221222125956

Pertinence de la surveillance hospitalière des traumatismes crâniens légers sous antiagrégants plaquettaires avec scanner cérébral initial normal

Partager

Objectif(s) de la recherche et intérêt pour la santé publique

Objectifs poursuivis

Prise en charge des patients

Domaines médicaux investigués

Cardiologie

Bénéfices attendus

L’étude porte sur le pertinence de la surveillance hospitalière de 24h recommandée par la SFMU depuis 2012 des traumatismes crâniens légers sous antiagrégants plaquettaires avec un scanner cérébral initial normal. L’hypothèse est que les patients victimes d’un traumatisme crânien léger sous antiagrégants plaquettaires avec un scanner cérébral initial normal présentent moins de 1% de complications hémorragiques intracrâniennes retardées révélées par une détérioration neurologique clinique au cours de la surveillance hospitalière initiale de 24h. Si les résultats de cette étude s’avéraient significatifs, il viendrait remettre en cause cette surveillance hospitalière de 24h et son application.

Données utilisées

Catégories de données utilisées

Informations relatives aux pathologies des personnes concernées

Source de données utilisées

Autres sources

Variables sensibles utilisées

Date de soins

Acteurs finançant et participant à l'étude

Responsable(s) de traitement

Type de responsable de traitement 1

Etablissement public de santé (dont fédération)

Responsable de traitement 1

CHU de La Réunion

Avenue François Mitterrand 97410 Saint-Pierre

Calendrier du projet

Terminé
Date de début : 01/06/2022 – Date de fin : 01/06/2023 Durée de l'étude : 1
Etape 1 : Dépôt du projet
22/12/2022

Base légale pour accéder aux données

Encadrement réglementaire

Méthodologie de référence

Numéro d'autorisation CNIL

Durée de conservation aux fins du projet (en années)

3

Fondement juridique

Article 6 du RGPD (Licéité du traitement)

(1)(e) exécution d’une mission d’intérêt public

Article 9 du RGPD (Exception permettant de traiter des données de santé)

(2)(i) intérêt public dans le domaine de la santé publique

Transfert de données personnelles vers un pays hors UE

  Non

Droits des personnes

Conformément à l’article 11 du RGPD, compte tenu de l’impossibilité pour le responsable de traitement d’identifier les personnes concernées et de la nécessité du traitement pour l’exécution d’une mission d’intérêt public, les droits prévus aux articles 15 à 20 du RGPD (accès, rectification, effacement, limitation et portabilité) ne sont pas applicables.Le droit d’opposition n’est pas applicable non plus en vertu du 6) de l’article 21 du RGPD puisque ce traitement mené à des fins de recherche scientifique est nécessaire pour l’exécution d’une mission d’intérêt public.

Délégué à la protection des données

CHU de La Réunion

avenue de SOWETO 97410 Saint Pierre

dpo.recherche@chu-reunion.fr